La #MuseumWeek est le premier événement culturel mondial sur les réseaux sociaux dont son but est de promouvoir les musées participants dans le monde. Pendant 7 jours, des milliers d’institutions culturelles partagent divers contenus autour de la culture et de l’art, avec un thème et un mot-dièse différents chaque jour ! La demande a été de faire la refonte du site internet museum-week.org, en reprenant les contenus déjà existants. Le site se divise en deux parties, une partie B2C Business to Consumer afin d’attirer le grand public à aller au musée pendant cette semaine là et faire découvrir des musées au grand public. Et une autre partie B2B Business to Business, composée de ces différentes fonctionnalités : découvrir le programme de l’année, s’inscrire à la newsletter et faire partie officiellement à l’événement, avoir accès à des articles et interviews sur l’univers des musées, avoir des astuces pour valoriser son musée sur les réseaux sociaux (best practices), télécharger des supports graphiques comme outil de communication, pouvoir faire des donations.

Adopte un ours polaire, une façon ingenieuse d’avertir sur les conditions alarmantes des ours polaires dans le monde à travers une histoire. Changement climatique, extraction de pétrole et de gaz en offshore, essor du commerce maritime, surexploitation des ressources marines : chaque jour, l’Arctique se fragilise un peu plus et avec elle, les populations des ours blancs. On dénombre actuellement entre 20 000 et 25 000 ours polaires dans le monde, avec parmi les 19 sous-populations existantes, six en déclin. La migration des ours polaires dépend des surfaces de banquise, qui leur servent de plateforme pour la chasse, la reproduction et le repos. Or, selon une étude menée par l’United States Geological Survey, la surface des glaces de mer de l’Arctique a «fondu» de 21 % entre 1979 et 2006, soit une perte de territoire comparable à la superficie de l’Alaska. À ce rythme, 42% de la surface de l’habitat des ours polaires aura disparu d’ici 2050. L’Ours polaire dépend également de la banquise pour accéder à ses principales proies (Phoque annelé et barbu) qui sont elles aussi menacées. De plus, il est plus susceptible d’être affecté par l’exposition aux polluants; en effet, une plus grande exposition aux polluants pourrait affecter le système endocrinien, le système immunitaire, et par conséquent le taux de survie et de reproduction de l’espèce. C’est donc une problématique climatique mais aussi environ- nementale, que nous avons décidé de choisir comme sujet «Quel avenir pour les ours blancs ?» Afin de mieux sensibiliser le lecteur, nous avons décidés d’intéragir avec celui-ci, en l’implicant vurtuelklement dans l’extinction des ours. En effet, avec sa «souris» le lecteur «tue» les ours blancs. Contraiement à l’ours polaire le lecteur à un nombre de vies illimités dans ce jeu. Une serie de datas accompagnera ce sujet.. Le coté ludique du jeu détramatise en premier lieu , mais permet au lecteur de se sentir plus impliqué dans la cause et de le marquer.

En utilisant internet avec nos ordinateurs, nos smartphones, ou encore nos objets connectés, nous produisons un nombre pharamineux de données personnelles. Ces données sont précieusement récoltées et examinées, souvent à notre insu afin de déterminer qui nous sommes, pas par ce que l’on dit de nous-même, mais par ce que l’on fait réellement. Mais pour mieux nous comprendre et nous offrir de meilleurs services, ou pour mieux nous contrôler ?

Loic nous présente sa fin du monde. Si un jour la planète Terre venait à s’éteindre… où iriez-vous ? À bord d’un vaisseau colonial à la dérive, venez découvrir le voyage palpitant d’une humanité en quête d’une nouvelle terre d’accueil. Voguez à travers le système solaire pour peut être un jour trouver une planète habitable où reconstruire un futur.

À partir du milieu des années 2000, la mode est devenue un gigantesque business avec une production qui se déplace constamment vers des pays qui offrent les plus bas salaires, le moins de régulation et le moins de protection pour les employés et l’environnement. Le but est de produire plus pour moins cher, aussi rapidement que possible.

Le gaspillage alimentaire vu par Chuniy, est un sujet trop souvent traité à la légère, Chunyi nous apprend comment ne pas gaspiller avec des gestes simples !

En 2024 la France franchi le pas et se lance dans un projet faramineux, celui d’héberger l’évènement international des JO. Ce choix audacieux est-il dans un simple but promotionnel ou cela cache t-il un projet bien plus ambitieux ancré dans la pérennité de l’environnement parisien ? La réponse se trouve aujourd’hui aux pieds de nos rues sous formes de travaux et chantiers oeuvrants dans un seul et unique but : le projet du Grand Paris. Suivez l’aventure de Olga, une touriste de Saint-Pétersbourg venant découvrir la ville de Paris pour la première fois et ce, pendant les évènements sportifs des JO. Fasse à une métropole transformée, elle se servira des nouveaux moyens de transports pour se déplacer. Grâce à notre programme de génération de texte venez découvrir la ville de Paris comme elle serait en 2024.

Les Jeux olympiques permettent d’unir une population et d’être un véritable espace de rencontre et de solidarité au sein de différentes nations. Pour tous les jeux, hiver comme été, les pays élus se lancent dans la création de nombreuses infrastructures afin d’émerveiller et d’accueillir au mieux les athlètes et supporters. Mais une fois les jeux terminés, que reste-t-il de ces gigantesques équipements...? Il est alors intéressant d’observer et d’analyser ce qu’on appelle plus communément : les éléphants blancs. Nombreuses de ces prestigieuses réalisations d’envergures s’avèrent être mise à l’abandon et finissent par conséquent par être plus coûteuses que bénéfiques. Les origines et raisons sont diverses et il est d’autant plus intéressant de donner à voir le contexte social, historique et économique associé aux pays de ces éléphants blancs. Les pays du Nord comme du Sud sont touchés, pourtant certains pays ont su faire preuve d’innovation. Ils développent des solutions afin d’éviter au maximum l’obsolescence et la mise à l’abandon de leurs sites. Entre échecs et solutions possibles, notre projet consiste à mettre en parallèle ces informations et données afin d’établir un paysage clair de ces «villages fantômes». Paris étant ville hôte pour 2024, il s’agit également de faire des ponts entre les installations abandonnées du passé et le devenir potentiellement positif des futurs sites.

Nous avons décidé de nous pencher sur ces pays qui participent depuis 1896 et qui pourtant n’ont jamais gagné une seule médaille en plus de 130 ans de participations. Au cours de nos recherches nous avons découvert que plus de 70 pays, n’ont jamais rien gagné et nous avons voulu savoir pourquoi et si cela avait un rapport avec la politique, l’économie ou même la situation sociale de ces pays. Les trois graphiques ci dessous tentent de répondre à ces questions. Le premier graphique compare le nombres de participants par rapport au nombre de médaille gagnée. Ce graphique présente les pays ayant gagné 4 (gris), 3(jaune), 2(rouge), 1(vert) et 0 médailles(bleu) par rapport à leur nombre de competiteurs. Prenons comme exemple : le Tajikistan a envoyé 27 athlètes et à gagné 4 médailles, alors que le Luxembourg a envoyé 460 athlètes et gagné que 2 médailles et Angola a envoyé 242 athlètes et n’a gagné aucune médaille. On pourrait continuer à comparer tous ces pays encore longtemps vous saisissez le principe. Le deuxième graphique traite des raisons de non participations des pays perdants. En effet, nous avons remarqué que les pays perdants n’ont pas toujours participé, mais pourquoi ? Nous pensions qu’il y avait un lien avec peut être leur situation économique ou sociale à certaines dates, or les raisons sont bien plus simple et politique. En effet ils n’ont pas participé à cause du boycott russe en 1984, américain en 1980, ou encore africain en 1976, ou parce que il n’avait tout simplement pas de compétiteurs. Pour le dernier, nous avons mis en corrélation le taux de participations des pays perdants, des moyens et des vainqueurs associé à leur PIB. On observe que les PIB perdants ont le PIB le plus bas mais tant que ca puisque le Kenya, la Nouvelle Zélande et la Bolivie ont quasiment le même PIB, alors que la Bolivie n’a jamais gagné une médaille et le Kenya en a gagné 117, et leur taux de participation est identique 14 participations.

Les femmes ont longtemps eu interdiction de participer aux épreuves sportives des Jeux Olympiques. Progressivement, discipline par discipline et pays par pays, leur présence augmente. Aujourd’hui lorsqu’un nouveau sport arrive en compétition il est intégré à la fois pour les hommes et pour les femmes mais il a fallu du temps pour en arriver là. Cette amélioration globale du taux de participation féminin ne doit pas nous réjouir pour autant car elle cache encore un grand déséquilibre de parité entre les pays participants. En effet, certains pays ont tardivement intégré des femmes dans la compétition pour différentes raisons: politiques, religieuses et culturelles. Nous présenterons donc cette vue globale de l’évolution de la participation féminine (macro) avant de nous concentrer sur les pays plus en difficultés (micro). Notamment avec les pays Arabes et les raisons qui freinent cette participation féminine et leurs victoires.

Marie Provanikova est la première athlète recensée comme défectrice aux JO de Londres en 1948. Depuis, on compte de plus en plus de sportifs, d’entraîneurs, voire d'accompagnateurs qui profitent des Jeux Olympiques pour fuir leur pays. Les défections s’expliquent par de nombreuses raisons. Le contexte historique, économique, politique, ou même idéologique des pays d’origine des athlètes peut les pousser à trouver refuge ailleurs, mais pas seulement ; l’amour peut parfois être une raison. De plus, une grande partie d’entre eux sont portés disparus sans n’avoir jamais laissé de traces après leur départ. Dans le cadre du présent projet de visualisation de données, nous projetons de mettre en regard une représentation de l'ensemble des défections recensées depuis 1896, en précisant leurs motivations, avec une transcription graphique de certaines aventures individuelles, de certains récits personnels jugés les plus marquants tant d'un point de vue historique que sociologique.

Les jeux olympiques sont l’un des événements les plus médiatisés au monde avec le festival de cannes et la coupe du monde du football. Depuis le début des JO, la retransmission de l’événement a connu de nombreuses évolutions. Le premier média a avoir été utilisé était le cinéma. Les compétitions étaient alors filmés puis retransmises quelques jours plus tard. Le réel changement vint avec l’arrivée de la radio et de la retransmission des informations en direct. Par la suite la télévision, internet et les journaux se sont imposés comme étant les meilleurs moyens de communication. Notre projet permet de voir l’évolution de la retransmission des JO au travers des 120 dernières années.

Les Jeux Olympiques actuels, été et hiver confondus, se composent de 35 sports différents divisés en 57 disciplines sportives, le tout disputé en 400 épreuves. Ces chiffres nous amènent à nous questionner sur la quantité d’épreuves disputées et leur répartitions aux Jeux Olympiques d’été, sur lesquels nous avons concentré notre travail, la popularité des disciplines sportives dans le monde et leur influence sur leur présence aux Jeux, ainsi que leur pérennité autour de cet événement mondial. C’est ainsi que nous nous sommes intéressés à la vie des Jeux Olympiques et à l’émergence de nouvelles disciplines au fur et à mesure des années. La mise en lumière de ces données en un graphique circulaire original nous permet de nous rendre compte de l’importance des Jeux Olympiques dans le monde du sport, et nous donne un aperçu global de la répartition des épreuves sportives qui apparaissent ou qui disparaissent à travers les années Olympiques.

Depuis quelques années de nombreux scandales sur le dopage font rage. La Russie est au coeur de l’un d’entre eux. Nous nous sommes intéressées à l’histoire du dopage depuis la création du Comité International Olympique (CIO) en 1968 qui répertorie les substances améliorant la performance des sportifs. Notre réponse à ce sujet prend la forme de posters et d’un site web employant la photographie comme médium de représentation de la donnée.

À la demande d'un atelier partagé, organisé par la Gaîté Lyrique, les étudiants du MMI ont présenté des projets autour du thème de la Gaîté Nomade (sortir la Gaîté hors les murs).

A partir du film Demain, chargé de sens et d’optimisme, les étudiants du Master MMI Sorbonne se sont lancés dans la création de jeux adaptés aux 5 thématiques du film : Agriculture, Énergie, Économie, Démocratie, Éducation.

Durant leur cours de direction artistique, les étudiants du MMI ont dû réaliser des datavisualisations sur la thématique de leur choix. Ces pages web comportent au minimum une animation et ont été réalisées à partir de guidelines.

Développé à la Sorbonne (Paris 1 et CNRS), Images Éducation est un site-ressource qui propose des analyse d'images destinées aux classes de collège. Une équipe du MMI s'est chargée de procéder à la refonte du site web, l'améliorer du référencement, l'intégration de contenu et la communication du projet.

L’Annonciation - entendre l’image - est un site web d’analyse d’œuvres et de symboles religieux représentant l’Annonciation. Pour ce site, de l'Université Paris 1, l'équipe du MMI a entamé une amélioration de l'identité visuelle, l'ajout d'un écran d’accueil, la simplification de la navigation et la création de deux vidéos teasing.

Dans le cadre de l'entretien des sites universitaires de Paris 1, une équipe du MMI a entrepris une restructuration de l'interface du site Mucri et son développement en responsive. Le Musée critique de la Sorbonne, dit Mucri, est une revue en ligne d'analyses d'images dirigée par Christophe Genin qui étudie tout type de représentations iconiques, plastiques ou visuelles.

L'agence Multimédia Sorbonne a conçu pour Technicolor deux applications : un Widget et un player vidéo. Elle a été en charge également de réaliser : un teaser vidéo, un prototype semi-fonctionnel pour chacune d’elles. Création de fonds d’écrans et de splashscreen pour tablettes.

Dans le cadre de la refonte du site de l’École Lacanienne de Psychanalyse, l’Agence multimédia Sorbonne s’est chargée d’effectuer une restructuration totale du site internet trilingue, tant sur le plan de l’architecture que sur le plan de l’identité graphique. Dédié à la pensée Lacanienne, ce dernier se donne pour objectif de mettre en valeur les évènements organisées par l’association, toutes les versions des séminaires de Lacan, ainsi que les publications éditées par les membres de l’École. Le site refondu utilise la technologie Wordpress.

ARIAD/R offre à la fois un site web ouvert au public, valorisation du capital inventif, et une plateforme de recherche réservée aux chercheurs. Les inventeurs alimentent cette plateforme et contribuent directement à ce projet scientifique en ligne en présentant leurs propres inventions, d’autre part, des chercheurs étudient ces inventions et les raisons de leurs déboires. Enfin l’agence Multimédia Sorbonne réalisent des webdocumentaires sur les sujets de recherche les plus avancés et, ainsi, faire découvrir au grand public leurs histoires surprenantes !

Dans le cadre du cours de datadesign mené par le chercheur-designer David Bihanic, les étudiants de la promotion 2015-2016 ont réalisé, par groupe de 3 ou 4, une datavisualisation sur un sujet au choix ancré dans la thématique de la ville. Les étudiants se sont chargés de la collecte, de la sélection, de l’organisation et de la mise en forme des données pour créer une composition graphique esthétique et signifiante. Au total, 7 datavisualisations ont été réalisées sur des sujets aussi divers que le regard des utilisateurs d’Instagram et des Parisiens sur la capitale française, la confrontation entre la culture institutionnelle et la culture du street art à Paris, l’évolution de la fréquentation des musées de France, l’économie du partage au quotidien, l’évolution de l’implantation des acteurs du numérique en région parisienne, les usages des consommateurs de pornographie et l’évolution de la violence dans le monde.

Multimédia Sorbonne a développé un projet web pour l'Orchestre de Paris appelé "Figure de Notes". L'objectif est simple. Faire découvrir ou redécouvrir les instruments de l'orchestre symphonique à travers des vidéos explicatives. Simple amateur ou chevronné de musique pourront si il le souhaite, tester leur connaissances à travers des quiz !

Multimédia Sorbonne a eu pour mission de réaliser une refonte complète du site internet de l'ENSBA incluant : la conception graphique, la conception ergonomique, l'intégration, le développement suivi d'une campagne photographique et d'une révision de l'architecture d'information préexistante.

Le célèbre théâtre Bobino a fait appel à notre savoir faire en multimédia afin de réaliser la refonte de son site internet suivi d'une vidéo de présentation de la salle et de photographies d'ambiance.

La future Maison de l'Image et du Signe de Sevran définit comme un incubatueur culturel et d'échanges a mit en place une plateforme web. Ce dispositif s'incrit dans un projet ambitieux de transformation du territoire. En effet la ville de Sevran a parié entre autre sur le numérique pour changer l’image de la ville et faire renaître une dynamique urbaine positive en faveur de la population.

Dans le cadre du projet « Comètes : aux origines des systèmes planétaires » mis au point par le Labex ESEP. L'agence Multimédia Sorbonne a développé un ensemble d'outils digitaux (un teaser, des interviews, 2 jeux multimédia ansi qu'une plateforme web). Ces outils servent à promouvoir et apporter des informations inédites sur l'exposition Comètes !