Les ours polaires

Affiche engagée

Adopte un ours polaire, une façon ingenieuse d’avertir sur les conditions alarmantes des ours polaires dans le monde à travers une histoire. Changement climatique, extraction de pétrole et de gaz en offshore, essor du commerce maritime, surexploitation des ressources marines : chaque jour, l’Arctique se fragilise un peu plus et avec elle, les populations des ours blancs. On dénombre actuellement entre 20 000 et 25 000 ours polaires dans le monde, avec parmi les 19 sous-populations existantes, six en déclin. La migration des ours polaires dépend des surfaces de banquise, qui leur servent de plateforme pour la chasse, la reproduction et le repos. Or, selon une étude menée par l’United States Geological Survey, la surface des glaces de mer de l’Arctique a «fondu» de 21 % entre 1979 et 2006, soit une perte de territoire comparable à la superficie de l’Alaska. À ce rythme, 42% de la surface de l’habitat des ours polaires aura disparu d’ici 2050. L’Ours polaire dépend également de la banquise pour accéder à ses principales proies (Phoque annelé et barbu) qui sont elles aussi menacées. De plus, il est plus susceptible d’être affecté par l’exposition aux polluants; en effet, une plus grande exposition aux polluants pourrait affecter le système endocrinien, le système immunitaire, et par conséquent le taux de survie et de reproduction de l’espèce. C’est donc une problématique climatique mais aussi environ- nementale, que nous avons décidé de choisir comme sujet «Quel avenir pour les ours blancs ?» Afin de mieux sensibiliser le lecteur, nous avons décidés d’intéragir avec celui-ci, en l’implicant vurtuelklement dans l’extinction des ours. En effet, avec sa «souris» le lecteur «tue» les ours blancs. Contraiement à l’ours polaire le lecteur à un nombre de vies illimités dans ce jeu. Une serie de datas accompagnera ce sujet.. Le coté ludique du jeu détramatise en premier lieu , mais permet au lecteur de se sentir plus impliqué dans la cause et de le marquer.

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Les Éléphants blancs

JO 2024

Les Jeux olympiques permettent d’unir une population et d’être un véritable espace de rencontre et de solidarité au sein de différentes nations. Pour tous les jeux, hiver comme été, les pays élus se lancent dans la création de nombreuses infrastructures afin d’émerveiller et d’accueillir au mieux les athlètes et supporters. Mais une fois les jeux terminés, que reste-t-il de ces gigantesques équipements...? Il est alors intéressant d’observer et d’analyser ce qu’on appelle plus communément : les éléphants blancs. Nombreuses de ces prestigieuses réalisations d’envergures s’avèrent être mise à l’abandon et finissent par conséquent par être plus coûteuses que bénéfiques. Les origines et raisons sont diverses et il est d’autant plus intéressant de donner à voir le contexte social, historique et économique associé aux pays de ces éléphants blancs. Les pays du Nord comme du Sud sont touchés, pourtant certains pays ont su faire preuve d’innovation. Ils développent des solutions afin d’éviter au maximum l’obsolescence et la mise à l’abandon de leurs sites. Entre échecs et solutions possibles, notre projet consiste à mettre en parallèle ces informations et données afin d’établir un paysage clair de ces «villages fantômes». Paris étant ville hôte pour 2024, il s’agit également de faire des ponts entre les installations abandonnées du passé et le devenir potentiellement positif des futurs sites.

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Losers do it better

JO 2024

Nous avons décidé de nous pencher sur ces pays qui participent depuis 1896 et qui pourtant n’ont jamais gagné une seule médaille en plus de 130 ans de participations. Au cours de nos recherches nous avons découvert que plus de 70 pays, n’ont jamais rien gagné et nous avons voulu savoir pourquoi et si cela avait un rapport avec la politique, l’économie ou même la situation sociale de ces pays. Les trois graphiques ci dessous tentent de répondre à ces questions. Le premier graphique compare le nombres de participants par rapport au nombre de médaille gagnée. Ce graphique présente les pays ayant gagné 4 (gris), 3(jaune), 2(rouge), 1(vert) et 0 médailles(bleu) par rapport à leur nombre de competiteurs. Prenons comme exemple : le Tajikistan a envoyé 27 athlètes et à gagné 4 médailles, alors que le Luxembourg a envoyé 460 athlètes et gagné que 2 médailles et Angola a envoyé 242 athlètes et n’a gagné aucune médaille. On pourrait continuer à comparer tous ces pays encore longtemps vous saisissez le principe. Le deuxième graphique traite des raisons de non participations des pays perdants. En effet, nous avons remarqué que les pays perdants n’ont pas toujours participé, mais pourquoi ? Nous pensions qu’il y avait un lien avec peut être leur situation économique ou sociale à certaines dates, or les raisons sont bien plus simple et politique. En effet ils n’ont pas participé à cause du boycott russe en 1984, américain en 1980, ou encore africain en 1976, ou parce que il n’avait tout simplement pas de compétiteurs. Pour le dernier, nous avons mis en corrélation le taux de participations des pays perdants, des moyens et des vainqueurs associé à leur PIB. On observe que les PIB perdants ont le PIB le plus bas mais tant que ca puisque le Kenya, la Nouvelle Zélande et la Bolivie ont quasiment le même PIB, alors que la Bolivie n’a jamais gagné une médaille et le Kenya en a gagné 117, et leur taux de participation est identique 14 participations.

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